Le Lyon a gagné par courage.

Il a souffert dans la première partie, a pu être goleado, il ne s'est pas décomposé et il a fait le deuxième temps magnifique. Il fait mal le dire et même peut être mensonge, mais la réalité consiste en ce que dans la deuxième partie le Lyon a été très supérieur au Madrid Réel. Il est tel. Il ne l'a pas fait en counterfrappant et oui en appuyant le rival, en avançant les lignes, vaillant. Dans les plus difficiles moments et devant un grand Madrid Réel qu'il avait surpassé en première partie.

Quelques détails clefs. Le premier, la position de Toulalan comme centrale. Le deuxième, l'entrée de Gonalons. Et surtout le courage. Presque tout Lyon a joué à un grand niveau à ce deuxième temps. Depuis Lloris avec sa fermeté dans quelques balles suspendues quand le Madrid redoublait à désespérée à la fin jusqu'à Lisandro, physiquement brisé mais capable d'endurer des ballons de dos comme celui qui a provoqué le but de Pjanic. Le bosnien est apparu quand il a pu. On pouvait attendre un schéma plus conservateur de Puel avec l'entrée de Källström par Pjanic, mais Puel porte toute la saison en donnant la confiance au bosnien et il ne l'a pas fraudé le jour le plus important. Dans le parti d'aller c'était la meilleure de son équipe et hier a démontré sa qualité.

Incluso il a physiquement crû dans le deuxième temps qu'il a contrôlé à son caprice, comme personne n'avait été capable de faire devant le Madrid, comme ils n'ont même été capables de faire dans un aller dans lequel ils ont plus brillé au contrecoup. Le football est capricieux, tant de comme pour finir avec le sommeil de la Champions d'un projet madridista capable de se battre avec le Bar-ça pour la Ligue. Si capricieux comme pour cela. C'est la grandeur d'un jeu sans égal, par beaucoup qui se retournait hier dans contre.

Gaby et César.